Concours d’écriture et de dessins – Taxi-baleine

L’autrice et l’illustratrice du Taxi-baleine ont eu très envie de vous lancer un défi, chacune dans leur genre… 

Sandra Le Guen vous défie à un concours de nouvelles ! Que les enfants (les grands sont les bienvenus aussi) prennent leur plus belles plumes. Le défi:  à dos de Taxi-baleine ou de rafiot- cachalot, raconte nous où tu partirais en voyage (A4 recto-verso maximum).

Maurèen Poignonec vous défie à un concours de dessin ! Téléchargez sur notre site et imprimez (ou recopiez) l’illustration du Taxi-baleine. Dessinez sur le dos de la baleine ses nouveaux passagers (cela peut être votre famille, vos animaux, tout ce qui passe par la tête des dessinateurs en herbe). Toutes les techniques sont les bienvenues !

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Un jury spécial composé de Sandra Le Guen, Maurèen Poignonec et l’équipe éditoriale de Little Urban récompensera une nouvelle et un dessin ! À gagner un petit texte dédicace de Sandra Le Guen et un croquis de Maurèen Poignonec ! 

Les résultats !

Les deux gagnantes sont…

Elise V. 5 ans, avec un coup de cœur unanime et « tortuesque » !

Et Lilou D., 5 ans pour son texte : Voyage autour des îles en Taxi-Baleine

« À dos de Taxi-Baleine, je pars en voyage visiter les 5 îles de mon imagination. Mais avant de faire un premier arrêt, je fais monter à bord de ma baleine ma petite soeur.
Ensemble nous naviguons jusqu’à l’île du petit-déjeuner. Sur l’eau nous croisons une sirène qui se joint à nous pour notre voyage.
Sur l’île du petit-déjeuner, il y a une cascade de lait qui se déverse dans une piscine de céréales ! Après avoir mangé, nous remontons sur la baleine et partons sur l’île aux diamants.
Là-bas, nous avons fait la rencontre d’une fée. Avec elle nous avons regardé tous les diamants multicolores pour voir si ils brillaient au soleil.
Une fois terminée, nous sommes remontées sur le Taxi-Baleine pour nous rendre sur l’île des coussins. Nous avons fait une géante bagarre de coussins, avec des coussins en forme de … noix de coco ! Nous avons ramené avec nous un chat qui vivait seul sur l’île.
Ensuite, à bord du taxi, nous avons sillonné vers l’île orange, l’île de la carotte.
Nous avons rencontré une grenouille qui s’amusait à jouer à « saute-carotte » ! Après avoir grignoté quelques légumes, nous sommes repartis en direction de la dernière île : l’île des guilis. Ici, les arbres ont des mains et de longs bras pour nous faire des guilis tout plein ! Nous avons croisé un lapin qui essayait d’échapper aux attaques de chatouilles. Alors nous l’avons ramené avec nous.
Une fois tout le monde réunit, nous avons vogué jusqu’à chez nous… et sommes rentrés nous coucher tous ensemble, moi, ma petite sœur, la sirène, la fée, le chat, la grenouille et le lapin, pour rêver à de nouvelles aventures. »

Félicitations à toutes les deux !

 

Merci aux nombreux participants, Sandra Le Guen et Maurèen Poignonec ont adoré voir vos créations !

Les dessins

Gabriel O. 12 ans

Ewen P. 9 ans

Ewan LC.

Emmy P.

Iris H.

Chloé K. 5 ans

Elena K. 6 ans

Adèle L. 6 ans

Abdullah S.

Youen D. 8 ans

Martin LB. 7 ans

Lucile D.

Lucie B.

Rose F. 4 ans

Lucie D. 9 ans

Louise C. 6 ans

Lou BE. 8 ans

Loann V.

Lilou M. 5 ans

Lili Wen S. 9 ans

Julien G.

Julia B. 8 ans

Jil B.

Morgane T. 12 ans

Clément T. 9 ans et demi

Pauline T. 8 ans

Louison T. 4 ans et demi

Mila BE. 5 ans
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Les textes

Mon voyage en Taxi-baleine
Un jour, alors que j’étais sur le bateau de mon père, je trébuchai et tombai à l’eau ; je me débattais pour rester à la surface de l’eau, mais vous ne devinerez jamais qui vint à mon secours : une baleine ! Oui, vous avez bien lu. C’était une baleine, ou plutôt un taxi-baleine, car sa profession était d’emmener les humains d’un rivage à l’autre. Elle me demanda où je voulais aller. « J’aimerais que tu me ramènes sur le bateau de mon père. » lui dis-je. Mais le bateau était parti, car mon père ne s’était pas aperçu de mon absence. Alors, je lui demandai de m’emmener à MONTERFIL, la ville où j’habitais.
Pendant le voyage on passa d’abord par une station baleinaire. Ces rares stations servent à aider les baleines. Chaque fois qu’une baleine entre dedans, on la nourrit, l’examine, et si elle est malade ou blessée, on la soigne. Pendant ce temps, d’autres clients et moi patientions. Puis nous reprîmes la route de MONTERFIL.
Soudain un filet passa au dessus de nous, la baleine se retourna, et moi avec. On vit alors un baleinier. Un baleinier est un bateau qu’utilisent les chasseurs de baleines et celui-ci avait les filets pleins de baleines capturées. Je demandai alors au taxi-baleine de plonger près des filets avant que les chasseurs de nous envoient un autre filet. Vu que c’était la marée basse, nous passâmes près du fond et j’en profitai pour prendre au passage un caillou tranchant. Enfin nous sommes arrivés près des filets et je les tranchai avec le caillou que j’avais ramassé. Les chasseurs tentèrent bien de recapturer les baleines, mais tous leurs filets étaient soit tranchés, soit au fond de l’eau. Ils ne purent donc plus jamais capturer de baleine.
Pendant ce temps nous commencions à voir le rivage de MONTERFIL quand soudain un homme s’amusa à m’imiter…Pour en dire plus il tomba de son bateau et allait faire un sacré plat (Et je ne parle pas de l’œuf). Alors je demandai au taxi-baleine de se mettre à l’endroit où l’homme allait tomber et elle fut d’accord. Grâce à nous l’homme ne fit pas un plat, mais gagna une grosse bosse. Le taxi-baleine le ramena sur son bateau. Il me proposa « du fric », mais moi je lui ai répondu que je ne voulais pas aller un Afrique, mais à MONTERFIL….., puis je partis, laissant derrière moi l’homme médusé. Je rentrai enfin à MONTERFIL et retrouvai mes parents très inquiets. Je les présentai au taxi-baleine . Ils décidèrent alors de faire un voyage, depuis, sur notre porte on peut lire: Nous sommes désolés, mais nous serons absents une ou deux petites années pour cause de tour du monde en taxi-baleine.
Maman, Papa, Arthur, Lili-Wen, Marceau
P.S : Merci d’avance de ne pas appeler l’asile.

Arthur S. 11 ans

Le voyage en famille
Un matin, aux aurores, un petit cri se fit entendre :
– En route Taxi Baleine ! cria Maya. La petite fille et sa famille étaient tous installés sur le dos de Taxi Baleine.
Et hop ! Taxi baleine fila à toute allure ! Ils virent du corail, des poissons multicolores et tout à coup apparut Edmond le poulpe.
– Bonjour moussaillons ! Que faites-vous ici ?
– Nous sommes en train de faire un voyage ! répondit Lucie.
– Ah mais c’est une sacrée bonne idée ça !
– Oui, répondit maman, aujourd’hui nous pensons accoster au Portugal !
– Et bien je vous je souhaite bon voyage au revoir moussaillons !
Et il disparut dans l’océan. Quelques heures plus tard, ils arrivèrent sur une plage de sable blanc
– Wouah ! s’écria Lucie, c’est trop beau !
– Ouais ! cria Maya, Maman on peut se baigner ?
– D’accord ! Mais pas trop loin.
Le soir sous une constellation d’étoiles :
– Bon, campons ici, dit papa tu es d’accord Taxi Baleine ?
Taxi baleine, pour montrer qu’elle était d’accord, claqua sa grande queue sur le vaste océan !
– Bon et bien la décision est prise , sortez vos sacs de couchage soldats !
– Je vais préparer le diner, dit Maman.
Après avoir bien mangé et s’être raconté des histoires, Maya annonça :
– Haaaaaa je suis fatiguée ! On peut aller se coucher ?
– Oui répondit papa, demain nous devrons rentrer à la maison ! Bonne nuittout le monde !
Et ils s’endormirent sous la pleine lune… et le lendemain ils rentrèrent chez eux des souvenirs plein la tête !

Maya D, 9 ans

Au lit, Taxi-baleine !
Il était une fois, une baleine qui s’appelait Taxi-Baleine. Tous les matins, elle allait près d’une île en portant sur son dos une petite fille qui s’appelait Elena, et sa petite sœur Sofia. Ensemble, elles allaient aussi près du phare, admirer ses belles lumières, et des fois, le soir, il y avait des feux d’artifices. C’était tellement beau ! Elena et Sofia voulaient y rester toute la nuit, mais il fallait rentrer ! Parfois elles s’endormaient le soir en rêvant qu’un jour elles iraient à dos de Taxi Baleine, jusqu’à l’Océan Indien.
Un jour, Taxi-Baleine alla chercher les filles. Elle devait les amener dans la maison de petit poisson, pour y passer la journée.
– Nous sommes bientôt arrivées, dit Taxi-Baleine.
– Youpi ! », dit Sofia.
– Bonjour Taxi-Baleine, bonjour Sofia, bonjour Elena !, dit petit poisson. Taxi-Baleine, tu veux boire quelque chose ?
– Oh oui, s’il te plait Taxi-Baleine, reste un peu avec nous ! dit Elena.
Alors taxi baleine entra dans la maison de petit poisson pour y rester un petit moment. Soudain, petit poisson éternua : « Aaaaaat-choum ! »
Taxi-Baleine dit à petit poisson : « Attention, tu as oublié d’éternuer dans ton coude ! Allez, il est temps que je rentre chez moi maintenant, je dois prendre le déjeuner, ma maman m’attend déjà. »
Alors, Taxi-Baleine s’en alla.

Petit poisson dit aux filles : « Oh-oh, je crois que Taxi-Baleine a raison, il faut que j’éternue dans mon coude. Et si j’éternue encore et que je vous donne mon petit rhume, après vous pourrez le donner à vos parents et aux autres copains, qu’est-ce que je vais faire ? »
– Tu pourrais aller voir le docteur Grenouille, il trouve toujours ce qu’on a comme maladie, et donne des médicaments à notre goût et qui nous soignent !, dit Sofia.
– Aaaat-choum ! Je crois, snif snif, que tu as raison ! Je vais l’appeler tout de suite et dire à Taxi-Baleine de venir vous chercher.
– Oui, en plus je crois que tu dois te moucher le nez, dit Elena.
– Oui ! Tu as le nez qui coule !, répond Sofia.

Toc toc toc.

– Entrez !  dit petit poisson. « Ah, bonjour Taxi-Baleine, les filles sont ici. »
– Taxi-Baleine ! disent les filles, joyeuses de la revoir.
– Re-bonjour, je viens chercher les filles, dit-elle.
– Vite, Taxi-Baleine, j’arrête pas d’éternuer, dit petit poisson.
– Allez les filles, on y va ! Au revoir petit poisson, soigne-toi bien !

Taxi-Baleine repart alors avec Sofia et Elena.
– On est arrivé les filles, dit Taxi-Baleine.
– Ouiiii ! Papa, maman ! crient les filles en chœur.
Et Taxi-Baleine, explique tout aux parents d’Elena et Sofia.

– Aaaat-choum ! fit Taxi-Baleine.
– Oh non, j’espère que tu n’as pas un rhume toi aussi, dit la maman d’Elena et Sofia.
– Je crois que je vais rentrer chez moi et demander à ma maman d’appeler le docteur Grenouille.
Et Taxi-Baleine rentra chez elle.

Quatre jours plus tard : Petit poisson était dans son lit, très très triste. Il avait le coronavirus! C’est le docteur qui lui a dit qu’il avait cette maladie. Petit poisson devait prendre des médicaments, ça l’énervait, même s’ils étaient à son goût. Le lendemain, Taxi-Baleine était aussi dans son lit. Elle aussi avait le coronavirus. Elle était très triste et avait peur de le donner aux autres. La maman de Taxi-Baleine appela le papa d’Elena et Sofia. Elle lui expliqua que Taxi-Baleine ne pouvait plus venir chercher les filles pour des balades pendant un petit moment. Elle était malade, et il fallait qu’elle se repose et qu’elle reste loin des autres pour ne pas leur donner ce virus. Tout le monde devait s’aider en faisant attention, pour ce que virus parte. Quand les parents d’Elena et Sofia ont annoncé ça aux filles, elles étaient très tristes, elles adoraient Taxi-Baleine et petit poisson. Sofia s’imagina alors ce qu’ils pouvaient ressentir : « C’est compliqué quand on a le coronavirus, parce qu’on ne peut pas beaucoup voir ceux qui habitent avec nous. Si on s’approche d’eux, on peut leur donner la maladie. Petit poisson et Taxi-Baleine doivent être très tristes. »

La maman et le papa d’Elena et Sofia ont une idée :
– Et si on appelait la maman de Taxi-Baleine et de petit poisson pour qu’elles nous donnent de leurs nouvelles chaque jour ?
– Bonne idée ! Comme ça ils sauront qu’on pense à eux ! crient les filles en chœur.

Deux semaines plus tard, la maman de Taxi Baleine appela les filles :
– Taxi-Baleine se sent mieux, demain elle pourra venir vous chercher ! Et petit poisson va mieux aussi, vous pourrez aller le voir toutes les 3 !
– Youpi, c’est merveilleux ça ! disent-elles.
Et les filles commencèrent à danser et à chanter au milieu du salon : « On va voir Taxi-Baleeeeine, on va voir petit poiiiisson !!! Youhouuu ! »

Le lendemain, Taxi-Baleine et Petit poisson viennent chercher les filles. Quel bonheur de se retrouver !
Le soir, il y a un beau feu d’artifice. C’est une merveilleuse soirée ! Après ce spectacle, la maman de Taxi-Baleine propose aux parents de Sofia et d’Elena de faire tous ensemble un grand voyage pour fêter ça ! Et le lendemain matin ils montèrent sur son dos, et Elena et Sofia sur celui de Taxi-Baleine, avec petit poisson à côté d’eux.
C’est parti pour un voyage vers l’Océan Indien !

Elena K. 6 ans

Insulae natalem

 Taxi-baleine nous attendait, ma sœur et moi, au bord du quai. Nous sommes jumelles. Des fausses. Nous avons 10 ans. Je m’appelle Blanche et ma sœur Rose. Maman est artiste peintre, papa musicien. Si on a une petite sœur, je pense qu’elle s’appellera Violette , et si c’est un frère, peut-être … Ré-mi  ou… Octave ?

Nous n’avons pas hésité, nous avons grimpé sur le dos de Taxi-baleine et Rose lui a dit : « Tu vois, là-bas, cette petite île, elle nous a toujours intriguées. On aimerait bien y aller. »

Taxi-baleine a glissé lentement entre les coques des bateaux. Nous sommes sortis du port. La mer était calme. L’aventure commençait.

Ma sœur Rose, la « scientifique » comme l’appelle papa, s’intéresse, entre autre, à l’archéologie. A la médiathèque, elle a découvert sur une carte marine de la région, cet ilot baptisé : Insulae natalem. « Un nom latin, s’est-elle écriée, il doit y avoir des vestiges. J’aimerais bien l’explorer. » Moi, la « littéraire » comme dit maman, j’imagine ce petit bout de terre peuplé d’êtres fantastiques courant dans la lande et se cachant sous les rochers de granit où ils gardent jalousement un trésor fabuleux.

Rose et moi, nous n’avons pas les mêmes lectures. A la médiathèque nous ne fréquentons pas les mêmes rayonnages : documentaires pour Rose, romans pour moi. Mais on s’entend bien quand même. Je suis toujours admirative lorsque ma sœur réussit une expérience. Pour moi, il y a souvent une part de magie, de rêve.

Nous approchons de l’île. Taxi-baleine se range le long d’un promontoire, une sorte de jetée sur laquelle nous sautons. Il promet de nous attendre. Moi, j’avoue que j’ai un peu peur. Un rempart court tout autour de l’île, semble-t-il. Nous franchissons une grande porte en forme d’arche. Devant nous un chaos de rochers. Au centre, se dresse une arbre gigantesque. Nous faisons le tour du tronc impressionnant et découvrons qu’il est creux.

« Allez, Blanche, courage, suis-moi ! » Nous voilà à l’intérieur du tronc. Rose sort une lampe de poche de son sac à dos dans lequel il y a toujours un fatras d’ustensiles, « au cas où… » m’a-t-elle dit un jour. Et aujourd’hui, semble-t-il, c’est le cas.

« Regarde ces inscriptions, c’est bien du latin, s’exclame-t-elle !

– Et tu comprends la signification de ces mots ?
– Non, mais j’ai un traducteur sur mon portable. Tiens ! prends ce carnet et ce crayon, et note tous ces mots. Il faut garder une trace.

La phrase latine faisait le tour du tronc : aliena accipit ut in similitudem tribunalis et descendit. Rose tapa le texte sur son mobile et s’écria : « étranger, prends l’escalier et descend. »

L’escalier ? Nous ne l’avions pas vu tout de suite. Mais il nous offrait sa grande bouche toute noire.
– Tu viens, Blanche ?
– Tu es bien sûre ?
– Toi qui aimes le mystère. Il y a peut-être un trésor tout en bas. C’est peut-être le repaire de korrigans ! Je sais que tu brûles de les rencontrer.

Rose a déjà descendu trois marches. Je la suis avec beaucoup d’inquiétude. C’est un escalier en spirale. Je compte les marches. 56, 57… je pense aux parents que l’on n’a pas prévenus, 72, 73, 74… ça n’en finira jamais, 102, 103… on va sûrement se retrouver au centre de la Terre, 184,185… comme dans le roman de Jules Verne. 231, 232… et là, ça me fait peur, 351, 352… tiens, on dirait la lumière du jour, 363,364, 365, autant de marches que de jours dans l’année. Ooh !

Nous sommes au centre d’une arène, comme le Colisée, à Rome. C’est incroyable. Soudain, une clameur s’élève de la foule, massée sur les gradins. Puis le bruit s’estompe et laisse place à une voix douce, celle de maman : « 365 jours de plus, bon anniversaire mes filles ! »

Jean-Yves LG. 74 ans

Voici une Baleine, un taxi baleine. Elle transporte une petite fille, Anaïs. La baleine adore être taxi.
Un jour, Anaïs va à un spectacle de danse avec la baleine. Une danseuse lui dit : viens danser avec nous. Quand Anaïs rentre, une licorne lui dit : « tu vas devenir danseuse professionnelle ! ». Anaïs se met à danser tous les soirs avec la licorne dans sa chambre.
Un jour, la baleine a un bébé : il s’appelle Léo. Un nouvel ami pour Anaïs. Puis Léo grandit et Anaïs aussi. Anaïs devient danseuse professionnelle. C’est au tour de Léo, en rafiot cachalot, de venir admirer les spectacles de sa sœur, ses enfants sur son dos !

Julia B. 8 ans

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à découvrir en librairie

Taxi-baleine

La baleine sourit. La baleine est attendue. Elle aime tellement être taxi. D’une rive à l’autre, elle fait traverser Juno, puis son grand-frère, Majé. Ensemble, ils glissent lentement sur l’océan, pendant neuf mois. Les enfants ont besoin du taxi-baleine. Cela ne durera pas : ils grandissent si vite.